De 2 solutions, tu choisis la 3ème.
Mantra d’Anne
Quand il n ‘y a pas de solutions, c’est qu’il n’y a pas de problème.
Devise Shadock
Les arts de la rue sont le baromètre de la démocratie.
Anne Guiot
Le rire est la préparation la plus adéquate à l’inacceptable.
Audrey Louwet, Cie Azein
The best way to predict the future is to create it.
Abraham Lincoln
Penser en stratège, agir en primitif.
René Char
Où se posaient les hirondelles avant l’invention du téléphone ?
Grégoire Lacroix
Un élu, c’est un homme que le doigt de Dieu coince contre un mur.
Jean-Paul Sartre
La réponse est le malheur de la question.
Maurice Blanchot
Un jour, on aura besoin d’un visa pour passer du 31 décembre au 1er janvier.
Jacques Sternberg
Ne pas se rendre au théâtre, c’est comme faire sa toilette sans miroir.
A.Schopenhauer
Lorsqu’on se sert des mêmes armes que l’ennemi, on se prive de pouvoir le juger.
Jean Daniel
Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse.
Proverbe arabe
Être poète, c’est élever des vers à soi.
Ma Rue Par Achbé
Si tout va mal, c’est que tout va bien.
Benjamin Isidore Juveneton
Le futur est plein d’avenirs...
M. Durocher
Tout ce qui dégrade la culture, raccourcit les chemins qui mènent à la servitude.
Albert Camus
Il faut faire aujourd’hui ce que tout le monde fera demain.
Jean Cocteau
Ever try. Ever fail. No Matter. Try again. Fail better.
Samuel Beckett
Jean, solo pour un Monument aux Morts
Patrice de Bénédetti (13)
Danse en espace public
Le monument au mort, lieu ordinaire, ne devient haut lieu qu’une ou deux fois dans l’année. Ne pourrait-il être pas être autre chose qu’un lieu grave, chargé histoire ? N’accueillant que cérémonies et commémorations militaires ?
Ce n’est pas un cimetière dans la ville, imposant recueillement et silence. C’est un lieu de témoignage ; où la prise de parole devrait être possible, même par le corps.
Une simple tribune de pierre où une histoire pourrait être racontée.
Avec Jean, Patrice de Bénédetti rend hommage à son père, à Jean Jaurès, à tous les Jean partis au combat bercés par la hardiesse et la foi en le progrès. Il mêle à son écriture chorégraphique le butô (danse du corps obscur), cette danse d’état et de non émotions, née en lendemain de la Seconde guerre mondiale. Mouvement, texte, installation plastique sont les différents champs artistiques envisagés aujourd’hui pour cette création.
Ce solo aborde avec force, tendresse et aménité les notions du don, de l’espoir, du rapport à soi et au monde.